... la pluie et la douceur!
Quel contraste depuis hier. Du coup, cela ne m'a pas motivé à ressortir la planche.
J'ai attendu les éclaircies de la mi-journée pour sortir le vélo près de chez moi.
Belle ambiance et quelle remontée de températures. Ca soufflait un peu aussi.
Petit moment sympa à prendre l'air et profiter des belles lumières.
Décision un peu à la dernière minute avec ce brouillard persistant, l’envie de changer d’air et d’éviter de me lever tôt tous les matins pour aller dans la neige.
Les conditions semblent optimales pour ces quelques jours : soleil, pas de vent et des températures assez correctes (env. 12 degrés…. Pas très chaud, surtout le matin, mais ça va).
Départ pour la région italienne de Canavese. Dans le Piémont, entre Ivrea et Turin. La base pour rayonner sera un chouette hôtel à Candia, pas très loin d’un joli lac.
J’ai pu explorer pendant 3 belles journées et suis resté principalement en plaine pour éviter les descentes où on se refroidit et aussi les endroits trop à l’ombre comme les fonds de vallées.
Au final, c’était vraiment sympa : la région est magnifique et se prête bien à l’exploration à vélo. Pas mal de chemins et de variantes à prendre. Bon, il ne faut pas trop se fier aux indications des chemins à vélo… c’est souvent spartiate et aléatoire. Aussi, les pistes cyclables dans les villes… parfois à éviter.
Les routes et chemins de campagnes sont très agréables à rouler. Ce serait certainement beaucoup plus joli plus tard dans la saison avec les plantations, la végétation, etc.
On dira que c’est un bon repérage….
Et puis, last but not least,…. Qu’est-ce qu’on mange bien dans cette région...
Jour congé et pas trop envie de faire des kilomètres pour du snowboard avec ce faible enneigement.
Par chance, il fait beau et pas trop froid. J'ai donc sorti le vélo pour m'aérer un peu. C'était assez agréable au final.
Brouillard en bas, soleil en haut: il faut monter. Après une bonne soirée hier, pas trop envie de partir de bonheur. Le Jura sera parfait pour une sortie oxygénation.
On est partis sur Montricher, à la limite du brouillard. Assez vite, le soleil est sorti pendant la montée sur la crête. Les températures sont vite devenues agréables. Bonne pause au sommet. On n'était loin d'être seuls, mais c'était sympa. Redescente par la Combe de la Verrière pour rejoindre le point de départ.
Un arrêt pâtisserie pour reprendre des forces s'est imposé.
Encore une belle journée, mais quand-même à attendre la neige.
Nous sommes partis de bonne heure, pour rentrer de bonne heure.
Randonnée au-dessus d'Allières, que j'ai plus l'habitude de faire en split. Mais, faute de neige, ce sera à pied.
Boucle par la Joux des Heures et en direction de Pierra Piercha. Froid à l'ombre et très doux au soleil. On n'est pas monté jusqu'en haut, car pas mal de neige dure. La descente côté Orgevau avec un côté patinoire, parfois délicat.
Journée sympa et au dessus du brouillard, c'est l'essentiel.
Cela fait quelques années que je n’avais pas suivi ma tradition d’aller chercher le soleil en novembre. Cette fois-ci, c’est fait.
Destination connue, le Cap-Vert où je m’étais rendu déjà à 2 reprises. Mais cette fois-ci, sur l’île de Santiago, que je n’avais jamais exploré.
Alors, les sensations reviennent : il fait chaud et il faut un peu s’y habituer. Sinon, le pays est toujours aussi agréable et accueillant, la nourriture délicieuse (surtout le poisson), la mer à température idéale et les paysages magnifiques.
Début à Praia pour ce donner le temps de souffler avant de repartir. Bon, pas grand-chose de spécial à voir : le marché de Sucupira est bien animé, le quartier du Plateau est sympa et offre une belle vue, mais sans plus et une ou 2 petites plages.
Restaurant très sympa avec terrasse avec vue sur le port, excellente cuisine, musique live et super service.
Ensuite, je suis allé à Tarrafal. L’expérience avec les minibus collectifs «collectivos» est à faire : ils ne partent qu’une fois pleins, vraiment pleins ! Le trajet, ensuite, dure env. 2 heures par des routes de montagne sinueuses et parfois bien raides.
Tarrafal est une petite ville agréable avec une baie et une jolie plage. Quelques petits hôtels, pensions, auberges. Des touristes, mais pas de masse, non plus. De bons restaurants également.
La ville n’est pas loin des montagnes, notamment le parc de Serra Malagueta qui offre de belles randonnées dans des paysages splendides.
Il y avait aussi la possibilité de louer un VTT. Ce qui permet de varier les plaisirs, se balader autour de la ville et explorer les environs. Pas toujours évident avec la chaleur, mais quand-même très chouette à faire.
Finalement, une bonne séance bien relax avec de beaux moments.
J’ai fait ma recharge de soleil, maintenant je suis paré pour la saison de splitboard !
N'ayant pas trop pu prendre de l'altitude aujourd'hui, je suis resté dans la grisaille.
L'idée était d'aller un peu sur les chemins et en forêt. Bon, il ne faisait pas chaud et ce brouillard était bien humide.
L'ambiance était quand-même intéressante et ça sent vraiment l'automne.
Surement la dernière forestière de la saison.
Matinée grise et week-end de piquet. Ce ne sont pas les ingrédients pour un projet majeur.
Suis allé prendre l'air avec le vélo au dessus de chez moi. Ambiance bien automnale, c'est-à-dire brumeux. Les forêts passent gentiment en mode automne. Ca va être joli avec un peu de soleil.
Après les pluies d’hier, ça promettait d’être bien humide. Heureusement, le soleil est de retour, mais quelle chute de température !
Départ de Châtel-st-Denis. Soleil, mais un peu de brume et une bise bien fraîche, mais ça monte bien du côté des Paccots et le soleil devient plus généreux. Montée au Lac des Joncs, pfiou, raide !
Route VTT sur Guedères. Petit torrent à traverser. Même si je suis resté sur le vélo, les pieds ont été trempé. Attention aux cailloux qui glissent !
Remontée sur le Soladier. Jusqu’au Gros Caudon, le chemin passe bien. Après, c’est séqeuence portage-poussage jusqu’au Col. C’est raide et le terrain est bien gras. Au moins, le gravel, c’est moins lourd qu’un VTT à porter :-)
Au sommet, vue sur les montagnes déjà bien enneigées. Magnifique chemin en balcon pour rejoindre le Col de Jaman. Juste une section jardinage (bottes conseillées!).
Descente sur les Avant, puis Chamby. Remontée du Vallon de Villard. Jusqu’à Mauguette (le parking du Folly, en hiver). La route des Pléiades est barrée, je pense redescendre par les Mossettes, mais après quelques centaines de mètres, un chemin monte à gauche, ça devrait rejoindre, une petite route au dessus. Belle séquence de poussage : le chemin est raide, boueux et glissant, mais je finis par retrouver la route. Je vais sur Lally. Il y a un biathlon VTT. L’occasion d’aller manger une raclette et une bonne tarte.
Descente sur Blonay. Je prends la route de Châtel, mais apparemment, il y a des travaux et c’est pas une bonne idée de passer à vélo. Je redescends sur la Veyre d’en Haut par des petites routes sympa. Traversée de la Veveyse par le pont du Fenil, en face de Merck. Puis, remontée sur Châtel-st-Denis.
Une belle journée bien complète. La neige sur les hauteurs donne une petite ambiance. Mais du coup, ça donne aussi un coup de froid.
J’avais fait la traversée Bâle – St-Cergue il y a 2 ans. J’étais aussi allé explorer la partie sur France entre la Vallée de Joux et le Bugey. Mais je ne connaissais pas trop le Jura Oriental. C’est l’occasion d’aller pédaler par là. Et pour le retour, je vais utiliser d’autres routes que celles empruntées auparavant.
Donc, départ là ou l’Aare se jette dans le Rhin, en Argovie. Puis, on entre progressivement dans la chaîne du Jura. Au début, ce sont de petites collines, couvertes de champs et de forêt. Au fil de la progression, elles deviennent plus grandes. Au début, les montées ne sont jamais longues, mais parfois bien raides et les successions de montées-descentes n’aident pas à garder un rythme. Vers la fin, elle deviennent plus longues… mais pas forcément moins raides.
J’ai fait un peu ma trace : parfois en utilisant les chemins Suisse Mobile (ils sont de temps en temps bien caillouteux), les petites routes et certains passages VTT.
J’ai ensuite passé par la vallée de Delémont, le Chasseral, la Vue des Alpes, le Val de Travers, le Creux du Van et pour finir autour du Suchet.
Itinéraire très varié et souvent sur les petites routes et chemins. Un vrai plaisir. Cette région est tellement belle à rouler. On y mange également très bien.
L’itinéraire au jour le jour :
Dimanche : en train jusqu’à Döttingen (AG), nuit sur place. Météo à la pluie, heureusement, le soleil reviendra lundi.
Lundi : Döttingen – Klingnau. Traversée de l’Aare à Felsenau. Reuenthal – Mandach – Hottwil et Mönthal. Cette première partie n’est pas encore trop physique et les montées sont plutôt courtes.
Puis Sennhütten, descente sur Effingen – Zeihen – Oberzeihen – Asp – Stockmatt – montée au Salhöhe. Là, ça commence est être plus sportif. Les montées sont plus longues, parfois sans goudron et les températures montent.
Schafmatt – descente sur Zeglingen – montée au Challhöchi et Chilchimmersattel. Quelques bons coups de pédales bien raides à monter – descente sur Langenbruck et Holderbank (SO) pour la nuit.
Mardi : descente à Balsthal, puis montée au Scheltenpass. Le dernier bout est bien sévère. Jusqu’au col, le temps est couvert. Descente sur Mervelier et montée sur Vermes. Puis, une erreur d’itinéraire m’a fait descendre sur Vicques et remonter par les gorges de Moutier.
De Moutier, ça monte bien pour atteindre Souboz et Sornetan, mais c’est très joli. Petit crochet par le village de Moron. Puis, Bellelay et les Genevez. De là, c’est presque plat jusqu’aux Reussilles (BE).
Arrêt familial pour la fin de la journée et la nuit.
Mercredi : un peu de pluie le matin et du vent. Du coup, je ne pars pas trop tôt. Mont-Tramelan et une montée raide par une piste VTT pour atteindre Chalet-Neuf. Descente sur Courtelary. De Cortébert, montée au Chasseral par les métairies et le Pont des Anabaptistes. Le coin est chouette et partiellement en chemin. Ca se dégage au sommet.
De là, Bugnenets et un joli vallon vers Joux du Plane. Après une petite gorge, remontée à la Vue des Alpes. Descente sur la Sagne et les Ponts-de-Martel (NE) pour la nuit.
Jeudi : Ponts-de-Martel - Combe Pellaton par un itinéraire VTT. Puis descente à Couvet. Remontée au Creux du Van. Cette fois-ci, à vélo jusqu’au sommet. Puis, c’est une belle traversée sur Bullet et Sainte-Croix. Montée à l’Aiguillon par les Gittaz. Montée à Grange-Neuve et piste VTT (là, il faut vraiment pousser) pour faire le tour du Suchet, descente sur Mathod et retour à la maison.
Comme j'étais de piquet depuis jeudi et que je bossais vendredi, pas de grosse sortie pour moi. Mais, c'était sympa quand-même.
Jeudi: sortie matinale dans le Jorat entre les l'averse du matin et celle de début d'après-midi... enfin, la deuxième m'a quand-même un peu mouillé.
Dimanche, c'était balade au bord du lac (ça faisait longtemps) et une remontée sur Chexbres et le lac de Bret.
Ca occupe bien, mais si la météo le permet, les we prochains devraient être un peu plus actifs.
Une journée chaude s’annonce, je prendrai un peu de hauteur.
Je suis passé par la Sarraz, Juriens, Vaulion et Pétra Felix pour redescendre au Pont. Petit arrêt boulangerie.
Puis, j’ai pris la route direction Mouthe jusqu’au Refuge du Poteau. De là, j’ai suivi le chemin de la grande Combe, refuge de la Pisserette pour rejoindre la petite route qui traverse la frontière vers la Petite Echelle. Ensuite, la route est assez sympa. Mais depuis la Grangette, ça côte sévère jusqu’au parking (probablement entre 15 et 20 %). Ensuite, quelques centaines de mètres à pied pour arriver au sommet des falaises. Vraiment bien sympa.
Redescente, puis Metabief et Jougne. Je ne suis pas resté sur la grande route bien longtemps. J’ai pris la direction Entre les Fours et pour arriver aux Echampés. Bien sympa. Traversée de la frontière originale.
Puis, Ballaigues, Montcherand, Valeyres, Ependes et retour à la maison. Cette dernière partie était un peu pénible. Il fait chaud !
Encore une belle journée
J’avais pris un long week-end, mais j’ai laissé tomber l’idée du long tour de 4 jours avec la météo prévue du dimanche.
Et pourquoi pas un bivouac pour ce vendredi ?
Alors, ça aura été la journée des changements d’idées. Les quelques orages annoncés en fin de journée m’ont refroidi. Mais j’ai attendu jusqu’au dernier moment. Alors je partirai direction Emosson assez tard… les journées sont longues.
Mais un long bouchon sur l’autoroute aura eu raison de ma patience. Sortie à St-Triphon et je monte aux Plans-sur-Bex.
J’ai garé aux Plans, car je ne savais pas encore si je me contenterais d’une pointe d’Euzanne et retours pas Pont de Nant.
Finalement, je monte à Javerne, puis la Tourche. La météo devient un peu menaçante, mais le radar météo n’est pas trop négatif. Donc, je tente.
Au Col des Perris Blancs, je décide de monter à la Pointe des Martinets. Je n’irai pas au Col pour la redescente dans le Vallon de Nant. De visu, il semble y avoir encore un peu de neige.
Retour par la crête passant par la Pointe de Pré-Fleuri et celle d’Euzanne. Descente par le Col des Pauvres et le Vallon d’Euzanne.
Finalement, je n’aurai eu que quelques gouttes sur la crête, mais rien de méchant.
Mais il s’est remis à pleuvoir avant le retour à la voiture. Pas grave.
Bah, c’était sympa quand-même
Pas trop d’idées pour cette belle journée qui s’annonce….. L’idée de monter vers le Mont Tendre me dit bien.
Tout d’abord un peu de route par Penthalaz et Apples pour arriver à Berolle. De là, j’ai pris une petite route qui monte sur Pré de Ballens. Très sympa et pas de bagnoles. Au début, c’est du goudron, mais après, ça devient un chemin. Ceci dit, la pente n’est jamais extrême et c’est surtout de la forêt. Très agréable. Bon, ça monte quand-même. De Pré de Ballens, je suis un peu descendu vers St-Livres pour reprendre la route montant à la Cabane du Cunay. Quelques coups de pédales sec et c’est la pause boisson sur la terrasse. La vue vaut la peine !
Descente de l’autre côté pour suivre les pistes de ski de fond sous le Mont Tendre. Partie toujours très sympa et bucolique à souhait. Je suis remonté à la buvette de Châtel, mais trop de monde pour s’y arrêter. Descente sur le col du Mollendruz et j’ai rejoins Mont-la-Ville par le chemin cailloux… ça tabasse bien.
Arrêt à l’Isle pour l’arrêt pâtisserie obligatoire et reprendre des forces.
Pour le retour, j’ai fais l’option Chavornay, le Vieux Moulin et quelques variantes pour me finir physiquement…. Bon, ça va encore :-)
Toute belle journée. Grand soleil au début et un peu nuageux sur la fin. Températures agréables.
Bon, il reste quelques flaques et un peu de boue pour justifier la douche de ce soir.
Ma partenaire du jour m'a proposé de retourner grimper. Pourquoi pas ? Ca me titillait depuis un moment.
Les Chéserys avant la tempête annoncée.
Nous avons fait la voie Jaune, puis une partie de la Blonde à côté. Oh, pas de la grande perf, c'est des voies faciles et je suis resté en second. C'était déjà pas mal pour une reprise. Mais ça m'a bien plu.
On n'a pas continué sur la Blonde, car la météo devenait de plus en plus imprévisibles. Finalement, c'était pas si mal. Quelques gouttes sur le sentier de retour.
Une ambiance particulière et lourde avec ces poussières du Sahara. Mais le rocher reste joli.
Comme j’étais déjà sur place et que j’avais du temps, j’en ai profité pour explorer un peu. D’autant plus que les températures étaient finalement assez agréables (pas trop chaud).
Le premier jour, j’ai fait un peu tranquille. Longé la côte depuis Cagnes-sur-Mer vers Antibes, Juan les Pins et Cannes pour m’en éloigner vers Mandelieu-Napoule. Je suis monté à Grasse et descendu dans les Gorges du Loup.
Pour les jours suivants, je suis monté par les très belles Gorges du Loup pour aller au Col de Bleine. Descendu sur St-Auban et suis allé au Col de St-Barnabé. Petit crochet par Vauplane. Puis descente sur le Lac de Castillon et Castellane.
Après, c’était les Gorges du Verdon. Vraiment magnifiques et ces falaises sont impressionnantes. Ca grimpe pas mal à vélo aussi. Heureusement que j’étais là un jour de semaine et hors saison, sinon j’imagine que la circulation doit être infernale.
Descendu sur Moustier-St-Marie et petit tour sur le plateau au dessus de Ste-Croix. J’ai rejoins Gréoux-les-Bains par Esparron. Pfou, c’est rarement plat. Mais c’est beau !
Ensuite, j’ai remonté la Durance jusqu’à Gap. Jusqu’à Sisteron, ce n’est vraiment pas intéressant. Il n’y a pas de voie cyclable et les routes ne sont pas faites pour. Dès Sisteron, une nouvelle voie cyclable reliant Briançon existe (à terme, elle devrait aussi descendre plus bas, je crois). Là, c’est sympa, car on traverse les terres agricoles et on longe le canal.
Arrivée à Gap. C’étaient les derniers tours de pédale. Je prendrai le train pour faire la suite.
Une bien belle fin de voyage. J’ai beaucoup aimé la traversée depuis les Gorges du Loup au Verdon.
Il faudrait plus de temps pour pouvoir continuer.
L’idée a trotté dans ma tête depuis un certain moment. Elle a fini par prendre forme et je suis parti pour rejoindre la mer depuis le Lac Léman en suivant l’itinéraire de la Route des Grandes Alpes.
Beaucoup de kilomètres et pas mal de montées - descentes (le site routedesgrandesalpes.com parle de 720 km pour 18’000 m de dénivelé positif…. J’en aurai finalement fait un peu plus au vu des quelques détours que j’ai eu à faire).
Une belle expérience avec des paysages somptueux et qui changent à mesure qu’on descend vers le Sud. Des routes incroyables et une grosse ambiance.
Et aussi, de belles rencontres en chemin.
Un voyage hors du commun, commencé mercredi 12 juin, qui s’est déroulé à peu près comme suit :
Jour 1 : il fait beau mais assez frais. Direction Ouchy à vélo pour la traversée du lac. La route commence à Thonon à la rosace du kilomètre 0.
Là, je ne partirai pas sur le Col des Gets, je préfère éviter la grosse route. Donc, ça commencera par le Col du Feu, puis celui du Terramont (une bosse, en fait) pour descendre sur la vallée de l’Arve à travers de magnifiques paysages préalpins. A Cluse, les choses sérieuses commencent avec la montée au Reposoir. Bon, je dormirai là.
Jour 2 : toujours beau et frais. Col de la Colombière. C’est pas super long, mais ça côte sèchement. Descente sur le Grand Bornand, puis ça remonte au Col des Aravis. De là, belle descente du Flumet, pour une longue remontée au Col des Saisies. Le sommet est une station de ski. Pas très joli, mais il y a de belles vues sur le Beaufortain. Dans la descente, j’aurais pu voir le Mont Blanc s’il n’était pas caché derrière les nuages. Arrivée à Beaufort
Jour 3 : pluie et pas très chaud. Je monte au Cormet de Roselend sous la douche. De plus, il y a la sortie des vieilles bagnoles… ça pue un peu et ça fait du bruit. Dommage pour la vue avec la météo. Je ne m’éternise pas et redescend fissa sur Bourg-St-Maurice. Là, pas de montée à Val d’Isère. L’Iseran est encore fermé à cause de la neige et la météo. Il faudra passer à l’alternative (qui rajoutera quand-même du dénivelé et des kilomètres). Descente de la Tarentaise avec une variante par le Col du Tra à Notre Dame du Pré. Puis, grosse descente jusqu’à la Léchère.
Jour 4 : il pleut des cordes, mais ça devrait s’améliorer dans la journée. J’attaque la longue montée du Col de la Madeleine. Les 2 tiers sous la pluie. En haut, c’est mieux. Je redescend. Puis, vers 850 m d’altitude, je remonte pour attaquer le Col du Chaussy. L’effort en valait la peine, car la descente par les lacets de Montvernier est spectaculaire.
J’atteins St-Jean-de-Maurienne. Petite pause avec de repartir sur St-Michel. Zut, il se remet à pleuvoir. Et puis, crevaison, la seule du séjour.
J’arrive à St-Michel et réalise que la traversée du Galibier est compromise, le tunnel est ouvert, mais pas le Col. Les cyclistes ne sont pas autorisés dans le tunnel. Je ne tente pas ma chance et suivrai une autre variante qui promet une longue journée.
Jour 5 : montée au Mont Cenis. Belle météo. Il faut remonter toute la Maurienne jusqu’à Haslebourg. En principe, pas de grosses difficultés, mais c’est long et ça monte. De plus, depuis l’éboulement du Freney en 2023, il faut faire un détour qui rajoute env. 200 m et qui grimpe assez sec.
La vue au Col est jolie avec le lac. Mais c’est dimanche et il y a pas mal de motards italiens qui font la course. Pas top.
Longue descente à Suse et surtout très longue remontée à Bardonecchia sur une route peu intéressante est remplie de motards. Content d’arriver à destination.
Jour 6 : retour sur France par le magnifique Col de l’Echelle. Une belle surprise qui ramène dans la vallée de la Clarée. La météo est belle. De Briançon, c’est une magnifique montée à l’Izoard et une belle et longue pause au sommet. La descente par la Casse Déserte est spectaculaire. Je m’arrêterai à la Chalp en dessus d’Arvieux. Journée plus courte que les précédentes. Ca fait du bien, mais les paysages sont incroyables et j’en ai pris plein les yeux. Nuit dans le gîte Chalet du Viso. Très bon accueil. Il y avait un groupe de randonneurs du Sud. Passé une très bonne nuit.
Jour 7 : descente à Guillestre par les gorges du Guil et remontée au Col de Vars. Sympa, mais moins joli qu’hier. Balade à pied au sommet pour changer. J’ai du temps et il fait beau. Descente dans l’Ubaye pour dormir à Jausiers. Autre nuit exceptionnelle au Val d’Ailleurs. Bonne soirée avec les propriétaires et petit-déj sympa avec les autres voyageurs. La journée s’annonce corsée avec le Col de la Bonnette.
Jour 8 : Il fait beau au début, mais ambiance du Sahara. La montée à la Bonnette est belle. Malheureusement, la cime est inatteignable à cause de la neige. La pluie, menace. Descente sur St-Etienne-de-Tinée.
Jour 9 : il pleut comme vache qui pisse et il y a des kilomètres à faire et 2 cols. Montée à St-Martin, la pluie s’arrête heureusement. Je rencontre Michel, un cycliste de la région de Barcelonnette qui fait une boucle dans le coin on fera la fin de la route pour monter au Col de Turini ou nous passerons la nuit dans le même hôtel. Soirée très sympa.
Jour 10 : nous descendrons ensemble avec Michel la belle route de Turini. On se séparera à Sospel ou il partira sur un autre col direction l’Italie. De mon côté, il reste le petit Col de Castillon avant de plonger sur Menton. La plage, enfin !
Mais c’est pas fini, l’itinéraire remonte sur la magnifique corniche au dessus de Monaco. Belles vues sur la mer. Puis, j’atteins le Col d’Eze, le dernier de la route des Grandes Alpes. Quelques lacets plus loin, je suis au vieux port de Nice, puis à la Promenade des Anglais. C’est la fin de cette belle route.
Pour dormir, j’irai un peu plus loin, à Cagne-sur-Mer pour profiter de la soirée à la plage et la fête de la musique. Et oui, on est le 21 juin.
Et puis, je serai bien positionné pour la suite…. Bientôt publiée.
Une toute belle route et une traversée mémorable !
Météo capricieuse. Hier déjà, j'étais sorti le matin pour profiter de quelques heures de soleil. Je suis rentré quand c'est devenu menaçant.
Rebelotte aujourd'hui. Les prévisions pour cet après-midi incitaient à ne pas rentrer trop tard. C'était déjà bien gris et venteux. Je ne sais pas jusqu'où j'irai... peut-être du côté de Romainmôtier.
Finalement, c'était pas si mal. Hop, un Mollendruz par Moiry et la Praz. Monté à Pré de Joux pour la pause. Pas trop de vue.
Je vais redescendre côté Vaulion. En route, je me dis que j'ai le temps pour la Dent de Vaulion. Je suis monté à la buvette. Pour le sommet à pied, ce sera une autre fois. C'est le brouillard ici et il ne fait pas si chaud.
Redescente sur Premier et Orbe.
Retour à la maison au soleil... ben finalement, c'était même pas si nécessaire de partir tôt.
La météo n’était pas trop optimiste. Mais il faisait quand-même beau le matin.
A Montricher, ça se couvre, mais le radar indique un petit passage pluvieux.
J’essaie.
Dans la montée, j’ai pris un peu de pluie, mais rien de sérieux. Le radar avait raison. Je ne suis pas monté au sommet à pied. Pas envie de me refroidir pour la descente.
Au pt. 1066, à la Fougère, j’ai pris le chemin caillouteux pour remonter au Pré de l’Haut. Il me semblait plus accidenté que la dernière fois. Un peu raviné, pas si facile.
Du Pré de l’Haut, je suis monté à la Croix de Châtel et comme la météo s’améliorait, je suis allé au point de vue. Par contre, pas de terrasse : un peu frais. Je me rattraperai à l’Isle.
Après l’arrêt pâtisserie obligatoire, le retour fut un long fleuve presque tranquille. Petit détour par la forêt de Pampigny et descente à Bussigny pour remonter la Chamberonne.
Une bonne journée avant la vraie perturbation du soir.
Un long week-end et des conditions pas si mauvaises que ça. L’occasion de faire une belle virée de 3 jours.
Pour le premier jour, je suis parti avant 8h d’Aigle. Les orages sont annoncée dans l’après-midi. Il faudra rentabiliser le matin.
Je suis allé à Bex, puis monté par l’Avançon pour rejoindre Fresnières et les Plans-sur-Bex. Traversée direction Gryon par les Pars et le Cergnement. Depuis Cergnement, je suis monté par Alpe des Chaux, puis les Chaux (1’755 m). Ca grimpe. Très belle redescente sur Taveyanne pour remonter au Col de la Croix.
La météo tient encore, je prends le chemin VTT direction la Forclaz. Puis descente sur Vers-l’Eglise. De là, on est vite au Diablerets. Ca tombe bien, il fait faim et une bonne crêpe me redonnera des forces. Bon, l’après-midi est calme, en attendant l’orage. Suis un peu allé explorer vers la Grande Eau, mais c’était pour passer le temps.
Le pluie est enfin arrivée, mais j’étais au sec aux Diablerets.
Jour 2 : il fait beau. Ca va être une grande journée. Montée à Isenau par le Lavanchy. Redescente sur le Lac Retaud et le Col du Pillon. Après, c’est route par Gstaad jusqu’à Flendruz.
Montée aux Sciernes Picaz. Puis, joli chemin qui mène au Gros Mont. Mais ça grimpe. On passe sous la Dent de Brenlaire d’un côté et les Gastlosen de l’autre. Descente sur Im Fang. Raide !
Ensuite, montée au Col du Jaun. Sympa, mais un peu monotone et trop de motards…. En même temps, on est dimanche.
Descente sur Boltigen et remontée sur Zweisimmen. De là, itinéraire SuisseMobile (vélo rando) pour revenir sur Gstaad. Je savais que ça monterait, mais pas à ce point. Il y a des montées super raides et pas du tout constantes. Des fois, on se demande si les gars qui proposent ces itinéraires les ont déjà faits. En tout cas, dans l’Oberland Bernois.
De Gstaad, je suis allé dormir à Saanen. Très agréable.
Dernier jour, descente du Pays d’En-Haut jusqu’à Montbovon. L’itinéraire SuisseMobile y est beaucoup plus sympa. Puis, montée sur Allières et c’est là que ça se corse. La montée au Col de Jaman est un gros morceau et les cailloux n’adhèrent pas toujours. Quelques passages de marche se sont imposés, mais moins que ce que je craignais.
Du Col, j’ai continué sur le Col du Soladier pour l’itinéraire VTT. Absolument magnifique et à faire. C’est pas trop dur, mais il faut regarder où on va. Mais le panorama est juste incroyable.
De là, descente sur Sonloup et Chamby.
Remontée du Vallon de Villard pour passer le collet sous le refuge du Pauty. Arrêt röstis aux Mossettes pour se donner des forces pour la fin.
La descente sur Châtel-St-Denis est raide : 27 % !
De Châtel-St-Denis, j’ai suivi l’itinéraire vélo par Rogivue, puis Oron. De là, je suis remonté sur Mezières et Corcelles pour arriver au Chalet-à-Gobet et offrir une douche à mon vélo.
Une belle virée intense comme je les aime. Les conditions ont été chouette. A part la pluie en fin d’après-midi du 1er jour et la menace de pluie le dernier, c’était top.
Une belle région à (re)découvrir à vélo.
Par ce long week-end et la belle météo annoncée, pas la peine d’aller dans le Sud pour risquer les bouchons ou les trains congestionnés.
L’idée d’aller du côté de la Forêt-Noire et de Schaffhouse me plaisait bien.
Le premier jour, je suis allé à Eglisau (en bagnole, car plus pratique pour faire un crochet nécessaire au Jura). Belle ballade en aller-retour le long du Rhin pour aller jusqu’à Schaffhouse. Les chutes sont vraiment spectaculaires.
Retour à Eglisau et j’ai repris la voiture pour mon camp de base à Tiefenhäusern. Hôtel Landhaus très confortable, accueil chaleureux et nourriture absolument délicieuse. C’était vraiment le bon plan.
Le lendemain, je suis allé du côté des lacs Schluchsee et Titisee. Vraiment chouette. Pas mal de pistes cyclables qui permettent d’éviter la route B500 (qu’il vaut mieux éviter, effectivement). Par contre, il est recommandé d’avoir un vélo «randonnée» ou gravel, car il y a pas mal de passages non goudronnés et pas forcément indiqués. Donc, un peu galère sûrement en vélo de course.
Une bonne nuit et de bons repas pour me préparer un tour plus gros… et avec plus de dénivelé.
Mais la technique en a décidé autrement : je réalise que la plaquette de mon frein arrière est morte. Je roule jusqu’à St-Blasien et j’espère y trouver un magasin de vélo. Pas de bol, il n’y en n’a pas.
Bon, je vais devoir me contenter de trouver du plat pour la fin de la journée. Je continue en fond de vallée, jusqu’à Menzen-Schwand. Et là, coup de bol, un petit atelier (bon, je l’avais repéré sur Google Maps, mais je n’y croyais pas trop). Le gars s’est bien démené pour trouver une plaquette à la bonne taille. Et ça a marché.
Donc, je vais quand-même pouvoir faire le petit col qui redescend sur Äule. Puis, je continue par quelques variantes, parfois forestières pour rentabiliser le tour.
Retour à l’hôtel pour un bon repas.
Bon, le dimanche, c’était grasse matinée et crochet par le Jura. Pas de vélo aujourd’hui. Dommage, les conditions étaient superbes.
Un chouette séjour et une belle découverte que cette Forêt-Noire. C’est loin d’être plat et il y a quelques côtes sévères. Mais c’est très varié avec de belles vallées et des rivières. Les paysages sont bucoliques et champêtres. Les hauteurs donnent une belle vue sur les Alpes.
A refaire et explorer encore.
Quelle journée !
Départ matinal et bien frisquet. Surprise de voir la brume après quelques kilomètres. Ambiance automnale directe. Heureusement que ça ne dure pas.
Après la descente sur Chavornay, ça se dégage… et ça se réchauffe progressivement. La suite est un long fleuve tranquille jusqu’à Estavayer.
Après, ça devient assez printanier. Les chemins sont assez roulants, mais jamais plats quand-même. Puis, je suis monté pour une variante au Mont Vully… une vieille connaissance.
Belle vue sur le Lac de Morat et les Alpes au loin. Le Chasseral est encore en parure hivernale.
J’ai continué sur Ins et poussé jusqu’à Erlach. C’est vraiment très joli.
Retour sur Neuchâtel et arrêt resto sur une terrasse au soleil. Trop bien. Ca, c’est pour le côté estival.
La route qui passe par Gorgier est vraiment belle. Beaux points de vue. Avant Concise, j’ai fait une petite variante forestière pour éviter la partie de route nationale. Plutôt sympa.
Retour par les bords du lac par Grandson jusqu’à Yverdon. La suite dans la plaine de l’Orbe est un peu monotone, mais ça roule bien.
Il ne reste plus qu’à remonter sur Cheseaux.
Une belle grosse journée et des conditions idéales. Le vent du Sud a attendu les derniers kilomètres, donc même pas mal !
C’était très complet et joli.
... te découvre pas d'un fil.
Quelle fricasse! Première sortie vélo avortée avant midi. La neige et le grésil m'ont ramené à la maison. C'était parti pour un après-midi à ne rien faire.
Le soleil étant revenu, il fallait aller prendre l'air (froid).
J'ai pas fait trop long, mais le contraste entre la campagne verdoyante et les sommets enneigés était joli.
Etant de piquet et n'ayant pas beaucoup de temps, je suis retourné un moment dans les bois du Jorat.
Toujours un grand plaisir de se retrouver en forêt, surtout dans cette ambiance matinale et aux températures agréables.
Les températures sont annoncées très agréables. C’est l’occasion de faire prendre un peu de hauteur à mon vélo.
Je suis descendu sur Chavornay, puis Yverdon et j’ai suivi la route à vélo jusqu’à Concise. Là, les choses sérieuses commencent. Montée sur Mutrux puis Provence. Pris la petite route qui évite la grosse épingle… raide.
Ensuite, ce sont de beaux paysages jurassiens vallonnés jusqu’aux Cluds. Puis, ça remonte, mais assez agréablement jusqu’à La Grandsonnaz Dessus. De là, itinéraire à VTT. Un bout de poussage, car bien raide et glissant. Ensuite, c’est assez sympathique jusqu’à la route qui mène au sommet. Elle est bien raide et casse-mollets, mais ça vaut le coup.
Redescente sur les Rasses et Ste-Croix. J’ai suivi l’itinéraire VTT de la Sagne qui rejoint la route à vélo sous les Aiguilles de Baulmes. Assez sympa et plutôt roulant finalement.
Descente sur Baulmes, Rance et Mathod (arrêt restauration bienvenu).
Puis, route à vélo no 5. Remonté à la Sarraz pour redescendre par les bords de la Venoge. Remontée sur Daillens et retour à la maison.
Une belle bambée que j’avais en tête depuis un moment. Ca fait drôle de pouvoir faire ça si tôt dans la saison. De plus, les chemins / routes étaient bien praticables. Peut-être que c’est la meilleure saison en fait. En plein été, il fera peut-être trop chaud.
En tout cas, une journée vraiment chouette et une ambiance assez particulière avec ce vent du Sud.
Les ingrédients d’une belle journée à vélo.
Après la neige d’hier, place au printemps. La journée promet d’être belle, avec une peu de vent et des nuages en fin de journée.
Un vent léger à modéré se fera sentir tout au long, mais ce n’est pas trop méchant. Par contre, déjà de belles températures printanières
Une belle boucle aujourd’hui : Bournens – Cossonay-Gare – Gollion – Vufflens le Château – Lavigny – Aubonne – Bougy-Villars – Gilly – Begnins – Burtigny – Gimel – Bière – L’Isle – Cuarnens – Moiry – Romainmôtier – Arnex – Chavornay – Penthéréaz – Villars-le-Terroir – Echallens.
Une bien belle tirée dans les vignobles de la Côte avec une belle vue sur le Léman. Puis la route du piedsdu Jura avec une belle vue sur le Lac de Neuchâtel, en prime. Les Alpes sont quasiment omniprésentes.
Une journée vraiment top !
Aujourd'hui, je n'avais guère envie de goûter les bouchons pour ensuite déguster la soupe.
La météo annoncée est magnifique. Un peu de stratus en bas, mais beau et doux en haut.
Direction le Mollendruz par Vaulion. Je crois que c'est la première fois que je fais ça en janvier. Et finalement, les températures étaient bien agréables.... en tout cas, mieux qu'en été quand ça cogne.
Mais quand-même, pas une trace de neige au Pré de Joux, à 1'200 m d'altitude. Même les sommets du coin (Dent de Vaulion, Suchet) sont largement dégarnis.
Pause bien agréable en haut.
La descente aura été moins froide que prévu, au final.
Magnifique journée d'une saison de vélo qui commence bien.
Jour 2 d’un week-end à ne pas manquer.
Ce coup-ci, l’idée est de faire une sortie tranquillou au Col du Tarent par Pra Cornet.
Lorsque nous sommes arrivées à proximité du haut, ça soufflait bien et il faisait plutôt gris… pas trop ce qui était annoncé.
La partie finale semblait trop chargée et plaquée à notre goût, on s’arrêtera là. Une équipe est montée au Châtillon… chacun évalue le risque à sa façon… perso, c’était pas pour moi.
On est redescendus du côté Etivaz jusqu’à la petite route menant des Maulatreys à la Rite (env. 1’330 m). Puis remontée par Les Fonds pour revenir sur le plateau de Pra Cornet. La fin était bien forestière….
Entre-temps, la journée est passée au grand beau et les températures sont bien remontées.
Pour rallonger la promenade, on est remontés à la Chaux Derrey. On aurait pu continuer, mais la perspective des bouchons nous a motivés à redescendre. Ce qui était une bonne décision.
Le retour au parking par les pistes de ski de fond est toujours un moment de solitude en splitboard … surtout quand on prend des itinéraires à la noix (traversée de ruisseau).
Une belle journée pour clôturer un week-end vraiment top.